Une surcharge affective et ses effets néfastes qui viendrait s'installer dans notre confinement. Saverio Tamasella, un psychanalyste aborde ce sujet dans son dernier livre et nous met en garde.
Sorties à moins de 1km, espace de vie limité, sorties restreintes. Pour 12% d’entre-nous un cadre de vie sans jardin ou balcon, limité au seul espace intérieur… Chez soi.
L’espace-temps est modifié. Beaucoup d’entre-nous avaient l’habitude de se déplacer pour se dépayser, ponctuer leurs journées, partir en vacances loin pour rendre le temps plus long. Forcément, ne plus bouger affecte nos émotions, nos sentiments, nos pensées. Le confinement, une parenthèse ponctuée de nouvelles, toutes anxiogène et multiples, font grandir le sentiment d’un retour à la normal, pas aussi rapide que souhaité, d’un 11 mai moins rose qu’espéré ; face à ces craintes notre charge émotionnelle croît. Exercices de relaxation, méditation fleurissent sur internet, c’est une belle occasion de s’y lancer. On peut aussi choisir d’agir face à elle et un parcours de coaching même à distance peut permettre de s’en saisir et d’en faire une force pour mieux aborder l'après.
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